Surprendre les anges endormis
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Pour les yeux de mon ange
Lundi (07/05/07)
Transfert
Blog transféré sur http://titefeepointdex.over-blog.com/
Ecrit par Barbara, à 16:45 dans la rubrique "pas à pas".
Jeudi (08/02/07)
j'ai pris ma décision....
.....Et je n'ai pas peur....
Jsuis préte, j'ai réfléchis. J'ai pesé le pour et le contre, j'ai tenté de voir de l'avant, j'ai regardé un peu plus en arriére... J'ai pris ma décision et je n'ai pas peur.... Je me sens fragile, jme sens inutile, jme sens de trop. J'ai posé ma valise mais je ne l'ai jamais défaite, et je ne retournerai pas en arriére... Mais aujourd'hui, je ne veux plus non plus aller de l'avant....
Ecrit par Barbara, à 23:30 dans la rubrique "pas à pas".
Mercredi (07/02/07)
[sans titre, sans vie]
Envie de crier ma haine, de crier ma colére. Envie d'être méchante et de dire a quel point je souffre. Plus envie de comprendre juste besoin de crier. Envie de tapper, d'avoir mal et de pleurer...
Je suis sans vie, mais je survie. Je veux te rejoindre, et rester avec toi où que tu sois.....
Ecrit par Barbara, à 14:14 dans la rubrique "pas à pas".
Mardi (14/11/06)
Chant des Nymphes
A travers les montagnes, a travers les sources, nymphes gracieuses et gaies, dans ces pres fait pour la danse, dansez d'un pas léger. Qu'en ce lieu le soleil contemple vos rondes plus gracieuses encore que celles des étoiles du ciel qui dans la nuit brune dansent a la lune. Puis, vous mettrez de belles fleurs dans les cheveux de vos amants, qui , au terme de durs tourments goutent enfin le bonheur de voir s'accomplir leur désir. Moi, restant aimable et souriante, par mes plaintes qui me fit autrefois pleurer, je me console a présent au son de vos lyre et me réjouis avec vous sur les colines et vallées. Ces joyeux chant inspiré par amour témoignent de notre bonheur. Nymphes et Gnomes de mon monde imaginaire, vous avez conduit mes rêveries dans ce monde bien réelle.
Ecrit par Barbara, à 13:44 dans la rubrique "pas à pas".
Vendredi (10/11/06)
Nouvelle vie
Lorsque je suis sortie du travail j'ai eu envie de marcher. Simplement marcher. J'ai dépasser les lignes de bus et je me suis faufilé sur un sentier de foret, les pieds faisant craquer les feuilles mortes en un bruit déchirant. J'ai repensé a ces derniers jours, a cette mascarade, a ces reproches, a ses interogations désobligeantes et outrageante.... J'ai repensé a cette conversation orduriére, a cette envie de faire du mal que j'avais en l'écoutant. J'ai repensé a cette haine, cette humilation que j'ai ressentie... J'ai repensé a cette nuit froide et longue. J'ai levé les yeux vers les montagnes qui ne m'apportaient plus rien, j'ai pleuré les derniéres larmes qui me restait sans vraiment réaliser sur quoi je pleurais. J'ai eu l'envie de fumer, depuis bien lontemps tout était partit a la poubelle et je n'avais pas de monnaie sur moi. J'ai eu envie d'avoir mon homme pret de moi, de lui dire que je ne suis plus rien sans ses bras. J'ai eu envie de crier au monde entier de me regarder, de leur dire que j'existait. J'ai ressenti le besoin d'être consolé mais je ne voulais pas que l'on vienne me toucher. J'ai resenti le besoin d'être antouré sans vouloir le demander. J'ai marché deux longues heures, je suis montée dans le bus et j'ai fermé les yeux... C'était sur ma vie, sur mon sort que je pleurais. Je venais de faire le deuil de moi même. Je voulais redevenir comme avant dans la souffrance qui était mienne, dans le mépris de ma vie, dans la douleur. Je suis rentrée chez moi, j'ai effleuré mon clavier, admiré le reflet des touches, écouté le son du piano. Voilà ma vrai raison de vivre.
Ecrit par Barbara, à 16:46 dans la rubrique "pas à pas".
Vendredi (13/10/06)
Automne rouge sang
Dans le vent intérieur qui me tord le ventre, je ne trouve pas la force de me plaindre et mon âme hurle une colére inexpliqué. Les larmes coulent en une chaleur etouffante sur mes joues. Je léve les yeux vers les montagnes que je vois a peine de mon regard troublé d'eau impure. Je me sens au bord d'un ravin sombre et silencieux. L'écarlate vision et une larme s'écoule abondament au bruit frais d'eau qui coule. Mon espris s'égare la rage ne demande qu'a sortir. Dans cette profonde blessure, magnifiquement le rayon du soleil pénètre lentement et allume un flamboyant et ardant désir de vengeance.
Vengeance contre moi, vengeance contre mon corps, vengeance contre ma vie, vengeance contre mes souvenirs, vengeance contre mes opinions, vengeance contre mon être Je reste les yeux fixés dans les feux mourants du soleil rouge, sur le feuillage d'or d'un arbre au couleur de la mort, qui en un instant laisse échapper une feuille de sang. Et quand le soir pert enfin son l'éclat pour laisser place a l'obscurité, l 'ombre m'enveloppe. La lune bleue et blanche au lointain émerge dans cette nuit vaste et pure que je ne suis pas digne de voir et de recevoir. c'est une splendeur claire sous le soleil couchant ou la nuit automnale me laisse un gout de mort.
Lorsque je sens la pointe du couteau entrer dans ma peau tendre, je vois une goute rouge perler le long de mon bras. Je suis fatiguée, je dois dormir....
Ecrit par Barbara, à 22:28 dans la rubrique "pas à pas".
Vendredi (06/10/06)
Pauvre planéte
Nous qui ne sommes que des locataires depuis la nuit des temps, prenons bien garde dès à présent de ne pas nous croire propriétaires. Si nos enfants, nos petits enfants, pouvaient garder les yeux ouverts, laissons leurs au moins un océan, trois arbres et deux rivières.
Pauvre planète, ça sent la fin des haricots, beaucoup trop de bourriquots avec du sable dans la tête.
Quand on aura déménagé sous terre a l’appel du bon dieu, nos enfants risquent de payer cher pour l’état des lieux. J’espère au moins que nos ancêtres ont nettoyé le paradis, si par malheur c’est en enfercque je suis conduit
Pauvre planéte, ça sent la fin des haricots, beaucoup trop de bourriquots avec du sable dans la tête.
Quand il n’y aura plus que le Karcher pour nettoyer la merde qu’on a dans les yeux, quand même les 4 mousquetaires ne seront plus que deux, prenons bien garde qu’à ne rien faire nous finissions par devenir comme eux Eteindrons nous la poudrière y mettrons nous le feu
Pauvre planète, ca sent la fin des haricots, beaucoup trop de bourriquots avec du sable dans la tête
Ecrit par Barbara, à 15:54 dans la rubrique "pas à pas".
Lundi (02/10/06)
l'amour
L'amour pour toujours, le mariage pour l'eternité, l'eternité pour s'aimer, toujours plus chaque jours ... L'amour est le plus beau des cadeaux, il nous fait dire les plus beaux mots, on se met à aimer, et cela chaque journée ... Quand arrive le mariage, c'est le signe d'être sage, la sagesse au plus haut point, là ou il n'y aura plus de chagrins ... Se marier avec l'amour de sa vie, et l'aimer chaque jours plus fort qu'aujourd'hui, lui conjuger le verber aimer, à tout les temps de l'eternité ...
Ecrit par Barbara, à 14:33 dans la rubrique "pas à pas".
Vendredi (15/09/06)
moments de vie
- Comment vas tu Barbara? - J'ai 40 de fiévre, l'oeil détruit par un orgelet, je connais pas de bons médecins avant des kilométres, personne ne peux m'y accompagner, j'ai pas de voiture, il pleut des cordes, je suis a découvert de 400€, ma carte bleu a été avalé hier par une machine, ma monitrice de conduite vient de me dire que si j'avais mon permis dans 5h elle se faisait bonne soeur, je bosse a 14h et ma carte de tram ne fonctionne plus, j'ai pas d'argent pour en acheter une autre, j'ai perdu les clefs de ma boite au lettre, ma voisine a cru que j'étais en train de voler mon propre courrier avec une fourchette, et je vois plus d'un oeil..... Je pense que ça va et toi? - euh...........
Ecrit par Barbara, à 10:55 dans la rubrique "pas à pas".
Mardi (01/08/06)
Moments a partager
Je n'ai pas cru t'avoir rêvé. Je n'ai pu t'imaginer. Tu étais bien réel devant moi, toi qui n'étais pas là. J'ai pensé mourire, j'ai pensé hurler, mais tu m'a simplement regardé. D'un sourire tu m'a fait pleurer, d'une grimace tu m'a fait trembler. L'émotion est monté en moi, je ne voyais plus autre chose que toi. Je t'ai cru réel mais la réalité était bien plus cruelle. Tu n'es apparu que dans mon imagination, apportant quelques seconde de bonheur face a cette situation. La réalité m'est revenus et je me suis enfui déçu, laissant derriére moi ton visage doux et quelque larme coulant sur ma joue. Je t'ai rêvé toute une nuit, j'ai imaginé d'autre journée comme celle-ci. Des journées a te regarder, des heures a vouloir me faire pardonner. Mais ce matin je me suis levé pour te chercher et je n'ai jamais pu te retrouver. Tu n'étais plus a ta place et nous ne pouvions plus être face a face. Je vais devenir folle.... Je reste là et je somnole.... Je manque de sommeil et reste les yeux fixé sur le rêveil. Les heures passent et je ne pense qu'a ce moment ou nous nous sommes fait face. J'aimerai que tu sois fiére de moi, j'espére que tu partages ces moments avec moi. Ces instants ou je vais changer de vie, ces moments où c'est a toi que j'aimerai dire merci........ J'ai tout gaché.... Jamais tu ne pourras me pardonner.......
Ecrit par Barbara, à 11:46 dans la rubrique "pas à pas".
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Qui je suis...
Prénom: Bárbara
Date de naissance: 28/04/86
Zodiaque: Taureau ascendant Gémeaux
Cheveux: Chatain clair
Yeux: vert
Taille: 1m71
Ce que j'aime: La musique, le soleil, le sourire des enfants, la mer, les bateaux, la liberté, la paix, l'amour...
Ce que je déteste: Le mensonge, l'hypocrisie, la tristesse, la haine...
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