Tours le 5/02/2004

Suite à notre discussion de ce matin...Que de belles paroles Monsieur D..
C'est quoi la liberté, c'est quoi ma liberté? Vivre dans un monde que je ne comprend pas. Quel mal avons nous fait pour supporter ça?

Pauvreté, souffrance et tristesse... Voilà ce que m'impose les yeux du monde. Partout où je pose mon regard, l'image de ma peine renvoit un sourire qui ne peux pas être sincére à cet homme, cette femme, cet enfant assis là sans attendre quoi que ce soit des gens bien trop pressé pour remarquer que leur planéte marche sur la tête.

Des gens souffre sans un regard. Des gens meurent sans un sourire. Un enfant pleure sans chaleur humaine. Ouvrez les yeux! Regardez autour de vous! Comment peut on supporter autant peu de compréhension?! Vous n'êtes que des machines, de simples robots manipulés et manipulateurs. Personne n'a besoin de votre fric, personne n'a besoin de satisfaire votre bonne conscience. La B.A c'est chez les scoots! On vous demande juste d'être humain, de quitter votre petit bonheur materielle pour s'intéresser au monde où vous vivez. N'oubliez pas que vous n'êtes que de simples locataires, la terre ne vous appartient pas!

C'est vrai, je peux toujours hurler, personne ne m'écoutera... Je peux toujours m'indigner personne ne s'en apercevra. Et ça je le devrait aux gens de votre espéce! Vous vous demandez quel monde vous laissez à vos enfants mais peut être devriez vous vous demander quels enfants vous laissez au monde!
Continuez à vous regarder, continuez à vivre les yeux fermé... Mais gare a vous quand la réalité vous rattrapera. J'ai choisis mon camps et tant pis si ça ne vous plait pas. Vous n'avait aucun droit sur ma façon de penser et je vous interdis de salir mon esprit. Ne jouer pas au "pote" avec moi, ça ne marchera pas.

Je vous laisse avec votre esprit si sur de lui, votre regard si désintéressé et vos paroles si menssongéres...N'oubliez pas que le respect fonctionne aussi dans les deux sens... Quand vos gamins vous écraseront les pieds demandez vous pourquoi...

Respectueusement
Barbara C.