Pierrot m'a dit dans mon précédent article qu'il y avait une réponse à chaque question... Ah oui?
Pourquoi il y en a qui ris pendant que d'autre pleure?
Pourquoi certain sont dans la misére tendis que d'autre sont couvert de fleurs?
Pourquoi c'est toujours ceux qu'on aime qui meurt?
Pourquoi la haine, pourquoi la peur?
Pourquoi on ne peux pas choisir sa vie, sa mort?
Pourquoi l'ennuie, pourquoi l'horreur?
Pourquoi la culpabilité, pourquoi...
A quoi ça sert de vivre si c'est pour souffrir?
A quoi ça sert de manger si on ne veux plus vivre?
A quoi ça sert de sourire quand on voit sa vie mourir?
A quoi ça sert d'aimer si un jour ça va finir?
A quoi ça sert de travailler si on m'empêche de penser?
A quoi ça sert de respirer si on m'empêche d'en profiter?
A quoi ça sert de parler, à quoi ça sert...
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Kyra
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je vais essayer de les donner
Certains pleurent et d'autres rient parcequ'ils n'ont pas reçu les mêmes informations.
Certains sont misérables parce qu'ils se sont mal débrouillés. Les autres se sont bien débrouillés.
Ce ne sont pas toujours ceux qu'on aime qui meurent, mais on entend moins parler des autres. De plus, on s'atacha a quelqu'un qui est en fin de vie parce qu'il est fragile, et que cela nous rapelle inconsciemment ce que nous sommes : des intermédiaires : on vient, on part, et le monde avance.
La haine et la peur sont des émotions humaines tels que l'amour. Elles ne sont que des réactions chimiques faces à certains stimulis.
Nous pouvons choisir notre vie ou notre mort, tout dépend des choix que l'on fait.
L'ennui et l'horreur sont comme la haine et la peur.
La culpabilité est un sentiment, les "...", je sais pas.
La vie est dure, mais pleine de charme.
Manger sert à rester soi même. Mourir, c'est devenir quelqu'un d'autre.
Sourir permet de montrer que l'on garde la tête haute, quels que soit les évenements.
Aimer, c'est mettre un doigt sur le bonheur.
Travailler c'est se défouler.
Respirer, c'est dire "il me reste des forces"
Parler, c'est donner son avis, montrer qu'on existe, qu'on a un message à faire passer. les "..." je sais toujours pas
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à 15:33