Je suis arrivée dans la forêt des ombres.
La tête embrumé, les pas préssés et obstinés, les arbres sont froids sur un sol clair qui brille a m'éblouir et fait voler dans les airs un sillage d'éclair.
Ce fut comme un faisceau de lances et d'étoiles filantes symétriques dans l'air, une imprésion de peur et de silence.
Là-haut, dans ce ciel sans couleur, ce miracle obscure s'apparente a des diamants et les regards, aux firmaments, remplacent les étoiles éteintes depuis la nuit des temps. Un voile de peur entoure mon corps sous la vue de femmes aux corps déformés et aux cheveux d'or qui rêvent aux firmaments.
Je suis effrayée dans la forêt des ombres.
Elles me fixent, avec leurs yeux tristent et sans vie qui inspirent la mort et l'angoisse. Elles semblent mépriser le monde, condamnés a l'infini et surtout l'être que je suis. Elles m'expliquent le fond et l'essence des choses, puisqu'à travers mon corps j'exprime leurs causes. La causes d'une vie volé, d'une âmes sale et brisé.
Je me suis découverte dans la forêt des ombres.
Mes yeux sont ouverts et n'appartiennent qu'a elles. Mes yeux sont fermés mais je ne peux nier la vérité. Je veux ignorer de quoi elles veulent parler. Elles se lévent et antour mon être semblable a leurs espris sans paraitre.
Le cercle de ses vies ravive ma mémoire. Je suis inévitablement perdu, la tête ignorante, le coeur tordu. Les bras battants, les yeux hagards, ceci n'est pas seulement un cauchemar.
Je suis perdue dans la forêt des ombres.
Mon cerveau triste est épuisé, de tout son sang, il n'a céssé de crier. Dans le tourbillon du menssonge, l'ombre n'a rien d'éblouissant. Devant mes yeux, s'entremêlent visions d'horreur et mes poings sérré renonce a vouloir se défendre. Je pars au travers de mes nuits sombres avec, au bout, le poids des vérité et toujours la lassitude de la certitude. Ceci est un cauchemar, je sortirai de la foret des ombres.