Les étoiles brillaient encore, le jour faible et douteux pointait a peine.
Cette lumiére ouvra mes paupières et le souffle humide d'un vent frais
effleurait ton visage calme pret de moi. Je soupirai à travers mon air endormir,je murmurais pour hâter ton rêveil.
Le chant de la forêt annonçait le réveil de la nature.
Tu goûtais un profond repos, après une journée épuisante que nous avions dégustait au bord de l'eau.
Moi, je veillais, je recueillais tes doux soupirs, et mes yeux, brûlaient de tendresse, devenant tour a tour la déesse de tes nuits, la princesse de ta vie a qui je devait tous on bonheur.
Les méches rebelles de ma chevelure flottent au hasard du vent, et je m'amusait a les voir danser sur ton front sans même te rêveiller.
Ton front serein déclarant le bonheur et la joie, mon bonheur et ma joie.
Quand vint l'orage, je fut paniquer. Je me leva regarder le paysage en colére mais ne pu m'empêcher de pleurer. Ta bouche qui pour moi n'était qu'amour; de la grâce la plus touchante et plus fraîche que l'aube naissante, s'approcha de ma joue pour y déposé l'attendu baiser. Et tes bras, tout aussi endormie que ton corps en entier se déplia devant moi pour m'enlasser d'un voile protecteur. Le degré de la lumière augmentait sur le temps de cette pose calme et douce. L'horizon venait m'embraser en un feu plus brûlant que l'enfer. Chacun de tes baisers ajoutait un rayon à l'aurore.
Dans la nuit les astres pâlirent et tout-à-coup tes beaux yeux s'ouvrirent ;
C'est toi qui fis naître le jour.
Bonne anniversaire...