Ouvre sur moi tes yeux si tristes et si tendres, miroirs de mon étoile, petite soeur adorée. 
Tes yeux si brillant et lieux où réside le silence de ce secret que tu es la seule a entendre et à contempler

Parle moi, fais entendre ta voix qui de ta bouche murmure les mots de la mélancolie, ceux qui invoque l'envie d'être aimée autant que tu es jolie. Ces mots qui n'arrivent toujours pas a me dire adieux.

Ta voix n'est que le soupir de notre enfance perdue, l'echo de notre fragilité qui invoque la mort et pour moi la vie. C'est ta peau et tes désirs qui ne cessera jamais de fleurir dans les yeux des autres.

T'enlaçer, te serrer dans mes bras, mais que faire d'un spectre que le vent transporte et éloigne sans cesse de mon étrainte. Traverser par les constellations, le secret du cosmos semble bien gardé.

C'est mourire lentement, pourquoi simplement aujourd'hui. Ta voix d'enfant est restée sincére et mon rire, mon sourire reste l'amour des souvenirs.

Je regarde le ciel étoilé en pensant a ces macabres souvenirs mais tu me touche en me haussant les ailes des ténèbres. Mes ailes imaginaires reflets des tiennes comme un conte de fée.

Nos deux corps, nos deux coeurs a jamais unis et pourtant je suis ici et toi ailleurs et moi je vis, je vis, je vis, je vis....