Toi tu ris, et moi je pleure.
Tu ne comprend pas ma tristesse pour toi elle n'est pas justifié. Et de cette ignorance tu tournes mon chagrin en dérision.
On ne me promet ni le soleil, ni la lune pour me réchauffer.Seule la nuit et ses menssonges, sa part de haine, reviens sans pitier ! Je rêve d'étoiles brillantes pour mon ange et du sommeil, calme et sur. Mais mon rêve s'envole toujours et toujours le cauchemar me rêveil.
Quel est ce monde où rien ne meurt, où rien ne vit, ou tout n'est que pures calomnies?

Ce monde c'est le miens et c'est le sien. Ses ailes aux vents, elle plane comme un oiseau oubliant qui je suis, sa soeur, qui pour rien au monde ne voudrait l'oublier. Elle ne connait pas la tristesse et de ce monde humain elle ne garde que les souvenirs de l'été. La mer et les cerises qu'il falait aller chercher. Nos regards de vérités, s'amuser a parler rien qu'avec la pensée et les fous rire qu'on ne peut oublier. Ces instants sont fragiles, et si chanter et danser avait pu faire avancer le temps son âme encore chanterait tout le temps. Promesse de vie, promesse de mort.
Quel est ce monde où rien ne meurt, où rien ne vit, où tout n'est que pures calmonies?

De ces étés passés seul l'oiseau chante et danse. Rien ne peux désormés changer le cours des choses. Pourquoi vouloir vivre pour ne plus danser, ecouter pour ne plus parler? Ne rit pas de ce sentiment tu ne peux pas le comprendre, il m'est si précieux que je pourrais mourir de ne plus le voir renaitre. Je ne peux pas vivre sans cela et c'est pourquoi je ne peux pas respecter cet interdit. Ce droit incompris d'une loi injustifié... Je veux danser, je vais danser sinon quoi faire a part ne plus exister... Sans cela comment vivre dans ce monde où rien ne meurt, où rien ne vie, où tout n'est que pures calomnies? 

De quoi ris-tu ? Tu as le droit de te moquer mais j'ai le droit des larmes... Ce droit qui consiste a exister et non a tricher... Dans ton monde rien ne meurt mais rien ne vie. Dans le mien c'est la vie qui efface les peines de la mort.