Elle dit:

Je vois, j'entend, je parle comment savoir ce qui se passe. Un conte, un temps qui passe et cette vie que je déconstruit...Un papillon vole au dessus de moi. Je ne l'entend plus, il crit, il tape, il doute. Un train m'écrase au loin sa fumée danse et dessine des reflets comme l'eau des lacs trop clairs.
Un jeu noir et blanc, des rites sans intêrets. Fête macabre autour d'une belle qui brûle. Elle tura pour sauver son sang et perdra le temps qui se lasse. Une larme qui crit au secours, un chant sans intêret. Son oeil sur moi me brule. Qui est-tu pour me parler ainsi? Perdu au milieu d'eux, si cette plume me touche je verrais l'heure filer et danser où les étoilent meurent. Prend cette clef pour la planter dans ton coeur et tourner doucement pour sentir que je t'appartiens. Vie d'esclave comme un cadavre une corde a ton cou. Les pages de ton cahiers sont lacérées tu ne comprend plus que c'est la fin. Pour me venger. Tes griffes dans mon coeur tu m'étouffes. Mon sang impure goutte sur toi et rentre dans tes veines. Ils t'obligeront a manger tu pourras étouffer d'une noutture humaine et croire a leurs mensonges... Bien trop parfait